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POUR « TOI »,

J’AI TOUJOURS FOLLE ENVIE…

Ce matin Mon Aimée

J’ai folle envie de Te baiser ;

Mon sexe dur bande pour Toi

De Mon Désir et Mon Émoi ;

Il est saisi des soubresauts

Que Mon Amour à pour Tes eaux,

Et j’en ai mal d’être tendu,

Mes bourses pleines de mon jus

D’homme qui veut T’Aimer

Au plus profond de Ta Beauté,

En Ta vulve qui baille

Et m’offre ainsi en draille

Tes lèvres si gonflées,

Ton envie de Baiser

Avec Mon phallus mâle

Valet de saturnales

Que Tu quémandes aussi

En Te cambrant ainsi,

Pour venir T’empaler

Sur Mon vit Princier

Qui bout, en son office,

Lorsqu’en Ton orifice

Tant Tu sais l’absorber

En contractions innées

Et vas et viens puissants

Enivrant « Notre » Sang

De danses palpitantes

Aux Envies de nos ventres

Qui savent « Nous » souder

En râles aux portées

Devenues démentielles,

Offrant à Notre ciel,

De voluptés tissé,

Nos plus belles licences

Aux si folles essences

Qui en « Nous », savent naître

Sans que l’on en soit Maître,

Puis soudain nous terrassent,

Jouissances de Grâces

Que l’on ne sait contrer

Et qui nous font hurler,

Tous Deux, et de concert,

Nos ivresses de chairs

Professes et janissaires,

Sur les plus hautes notes

Des plus Belles portées

De tout le verbe « Aimer »

Se conjuguant ainsi,

Ce jour, et en Ton lit,

Mon Amour, Mon Aimée,

Que J’aime féconder,

De Mon Cœur, de Ma Vie,

Lorsque ainsi l’on jouit,

Ivres et transcendés

À nous décomposer

Quand nos bouches gourmandes

Et nos sexes qui bandent

Jusqu’à leurs apogées,

Se lient en « Notre » Acmé.

Comme je T’Aime ainsi

Lorsque Tu as joui,

Couronnant de Ta Voix

Ces fantasmes de Roi

Que moi je réfugie en Ta Féminité,

Qui pour mon masculin est Ce Trésor Sacré

D’Âmes de Cœurs en Corps

Qui accompagnent encore,

Toujours après l’étreinte,

En Amoureuses Plaintes

Ta reddition Subliminale,

Ma jouissance Cardinale.

Puis le temps Nous sépare.

L’attente alors nous accapare,

Mais Moi en Toi Toujours demeure,

Car, Ô Ma Reine ! Et à toute heure,

Qu’elle soit fraîche ou incendiée,

En Toi je suis Ce réfugié,

Toujours Présent avec Mon Cœur

Qui fait l’Amour à Tes Langueurs,

Et à Ta Vie de chaque Jour,

Qui tant enflamme… Mon Amour.