ÉMOIS ! Á VOUS/TOI, QUI…
ÉMOIS !
À VOUS/TOI, QUI…
Émois, j’espère Votre âme qui rayonne,
Ce Rayon de Soleil où la vie s’Abandonne,
Défiant l’ennui mesquin et le renoncement,
Pour vibrer de Passion, en aube de printemps.
De cette âme irradiée, j’imagine l’espace, Infini,
Qui n’impose frontières à ses vagues d’envies,
Surfant allègrement, sans redouter sa peine,
Au risque de souffrir sur Ce Chemin Bohème
Que caresse l’espoir de sa délicatesse aux sourires
Enjôleurs, courtoise d’attentions qui me savent ravir
Au détour de ses mots, dans l’éclat de ses yeux,
En ses élans de Cœur, et de Corps Amoureux.
Je vénère Votre esprit, Rebelle et Libertin,
Qui fait battre Ce cœur un peu plus sous Ce sein,
Quand Votre chair, Gourmande, aux fantasmes enjoués,
Janissaire du Tendre l’invite à s’oublier
En cette Nymphe Ardente, ceinte par « Son Désir »,
Câline, Libre Furia aux transports exaltés de soupirs exhalés,
Amante en appétits des Pérennes Beautés
Que vous souffle Vénus, lors… Vous les savez Oser.
Ainsi obsédez-vous mes songes les plus fous…
Et Son Mystère à « ELLE », je le dédie à « VOUS »,
Utopie de Mon Cœur qui frémit en l’amant,
Sensuelle Diva de Mes Sens Fervents.
Je vous écris ces mots, prétendant D’un Plaisir
Qui souhaite intimement, à Votre Être M’offrir.
Or, tel destin me fuit, victime d’une obédience
Qui je sais, vous oblige, me déniant cette Chance.
Alors, ce sont mes vers, frôlements délicieux
De mon regard féru, qui butinent vos yeux,
Lors en Vos lectures sous Votre Ciel de Lit,
De mille bruissements vous frémissez ainsi,
En Votre Âme Jolie
Qui tant encore Trouble Ma Vie,
Et là dilue en Vos Jardins…
Tendres et Chérubins.
Vous croiserais-je un jour, au détour d’un sentier ?
Et, oserais-je alors, audacieux Écuyer,
Vous enlacer de ces soieries qui m’érotisent,
Sans craindre Votre offense… D’une telle entremise ?
Et… Vous offusquerais-je, céans, d’ainsi me dévoiler,
Tant vous avez gravé de Vos Féminités,
Ineffables, dont tout Votre Être s’emmaillote,
L’âme absolue du mien… Qui bat à « Votre » Porte ?
Mais… Voici l’heure ! Je m’efface, respectant Votre Vœu
De ne plus apparaître en Votre Azur soyeux.
Cependant, si de penser à moi, Votre Âme frémit encore,
Pour Mes Essors Émois, invitez-les… En corps à Corps,
Ils sauront « VOUS »/T’Aimer,
Sirène Acidulée,
Précieuse Aurore
De Ma Psyché…
Si Chaud Trésor !
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