VARIATIONS SUR UN THEME - J'AI REVE D'UN SOUPIR...
VARIATIONS SUR UN THÈME
J’AI RÊVÉ D’UN SOUPIR…
Je l’avais posé là, sur ton cœur,
Le soir d’un jour, en sa langueur,
Puis il s’était noyé en ton sang chaud,
Pulsion d’envie baignant ta peau.
Souffle d’espoir de mon désir
Il frémissait en devenir
De sa douce ferveur
Inhalant ton parfum aux si tendres saveurs.
En cet éther troublant de ta féminité
Il goûtait un instant à la félicité ;
Ton aura enlaçait son émoi…
Avant que ne s’exhale… Son profond désarroi.
Ce soupir, posé là, tendrement sur ton cœur,
Souffle d’espoir sans pudeur,
Le mien, pensait à ton amour…
Brasier du soir, cendres du jour.
J’AI RÊVÉ D’UN SOUPIR…
Je l’avais posé là, sur ton cœur,
Le soir d’un jour, en sa langueur,
Puis il s’était noyé en ton sang chaud,
Pulsion d’envie baignant ta peau.
Souffle d’espoir de mon désir
Il frémissait en devenir
De ta douce ferveur
Inhalant ton parfum aux si tendres sueurs.
En cet éther troublant de ta féminité
Il goûtait un instant à la félicité ;
Ton aura enlaçait son émoi…
Avant que ne s’exhale… Mon profond désarroi.
Ce soupir, posé là, tendrement sur ton corps…
Un espoir mort en cette aurore,
Il vibrait pour Ton amour…
Brasier du soir… Cendres du jour.
J’AI RÊVÉ D’UN SOUPIR…
Je l’avais posé là, sur ton corps,
Le soir d’un jour, avant l’aurore,
Puis il s’était noyé en ton sang chaud,
Pulsion d’envie, baignant ta peau.
Souffle d’espoir de mon désir,
Il frémissait en devenir
De ta douce ferveur,
Inhalant son parfum aux si tendres sueurs.
En cet éther troublant de ta féminité
Il goûtait un instant à la félicité ;
Ton aura enlaçait mon émoi,
Avant que ne s’exhale… Son profond désarroi.
Ce soupir, posé là, tendrement sur ton cœur…
Crépuscule trompeur
Le mien vibrait pour ton amour…
Brasier du soir, cendres du jour.
J’AI RÊVÉ D’UN SOUPIR…
Je l’avais posé là, sur ton corps,
Le soir d’un jour, avant l’aurore,
Puis il s’était noyé en ton sang chaud,
Pulsion d’envie, baignant ta peau.
Souffle d’espoir de mon désir,
Il frémissait en devenir
De ta douce ferveur,
Inhalant les parfums de tes tendres faveurs.
En ces éthers troublants de ta féminité
Il goûtait un instant à Ta félicité ;
Ton aura enlaçait Mon émoi…
Avant que ne s’exhalent tes plus charnelles joies.
Ce soupir, posé là, tendrement sur ton cœur…
Noir crépuscule… Regain vainqueur,
Le Tien vibrait pour Mon amour…
Cendres du soir… Brasier du jour ?
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