RIEN QUE POUR TOI !
RIEN QUE POUR TOI !
Oui, pour Toi Seulement,
Tels Ardents Amants
Qui encensent « LA FEMME »,
S’enflamment…
Ces quelques mots,
Troublés par Ce Halo
Sulfureux de « SON » Âme,
Qui irradie leurs brames
De « SON DÉSIR » naissant
En Ce Temple Fervent
Du creuset de « TON » Être,
Où Doux, l’AMOUR s’apprête
À Aiguiser l’ENVIE
De leurs Mâles Appétits,
Au demeurant Gourmets
Bien plus qu’il n’y paraît,
Tentant de « Te » griser
Par leur audace aisée,
Tant, « FEMME ÉTERNELLE »,
En « Toi » invite-t-elle
« Ses » Plus Libres Dentelles,
Qui « Te » rendent si BELLE
Que tout Regard Galant
Au hasard « Te » croisant
Se sait ensorcelé
Par Ce Charme éthéré
De « Ta » Toile d’Émois,
Y découvrant « Sa Voie »,
Qu’« ELLE », ne condamne pas,
Muse d’un doux combat
Pour deux fleurets légers
Aux caresses ouatées
N’anticipant l’issue,
Ultime, de « Leurs Nues »,
Lors deux corps s’espèrent
En « LEUR » Magie Première.
Mes mots Choyant les Tiens
Sur les flots de « Nos Faims »,
En Deux Cœurs, Nos Ferments,
Se font l’Amour Vraiment,
Pétris d’une innocence
Aux Précieuses Fragrances
Tissant ainsi « Ce Lien »
Festonné de Romances,
D’autant de Joies qui dansent
Sans penser à demain.
Or…
Ces mots audacieux, les Miens,
Espiègles et galopins,
Chaussant « Mes » gros sabots
Redoutent de « Ta » main
Leur froissement d’écho,
S’ils s’avéraient trop sots.
Alors…
Les guide, « Mon Chemin »,
Qui mène à « Ton Berceau »
Que « Je » Désire en « Eaux »
Pour qu’en « TOI » J’expire,
Mâle, autant Jouvenceau,
Offerts à « Tes Échos »
De Passion Charnelle,
Où « Je » me sens Si Beau
Quand je « Te » sais si « BELLE »,
Que je nais crescendo…
En « TOI », « FEMME ÉTERNELLE »,
« MA » Délicate Jouvencelle.
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