GENÈSE
GENÈSE
Et sur Ton Sein ma main se pose,
Pour la première fois elle ose
Cette hardiesse qui ne fut que pensée ;
Je sens frémir Ta Beauté.
Tel bonnet de Dentelle Fervente,
Elle Épouse, Galante,
Le Moelleux Féminin
De Ton Cœur Arlequin.
Et Mes doigts ondoyant telles algues langoureuses
Ondulent tendrement sur Sa Vague Fiévreuse,
Ils caressent Ta chair en Suave Plaisir,
Goûtent en Sa Chaleur… Ton Souffle de Désir.
Son Aréole alors bourgeonne, et Ton Tétin se tend,
Hôte de mon index et de mon pouce pressants,
Et voguent sur Ta peau de Volupté Divine,
Empreintes de Mon Sang, leurs caresses Félines.
Ainsi, contre Ton dos scellé, Mon Souffle sur Ton cou.
Mes mains sur Tes deux seins, l’Ivresse en rendez-vous,
Mes lèvres alors s’oublient, là, juste sous Ton oreille,
Et Tes soupirs d’Émoi à Leur Baiser s’éveillent.
Et Moi, qui suis Fournaise, et si Tendre à la fois,
Lové contre Ton Corps, je M’offre Tout à TOI !
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