CHAQUE DESTIN, LE TIEN ! LE MIEN ! ET CELUI DE TANT D’AUTRES…
CHAQUE DESTIN,
LE TIEN ! LE MIEN !
ET CELUI DE TANT D’AUTRES…
Chaque destin à sa part d’ombre où Un soleil trouve sa voie. Et en cette ombre-là, à corps, encore en moi flamboie le Tien, et pour toujours je crois, tant il fleurit mes pas de ce « Ce Beau Sourire là », « Le Mien ! » pour « Ton Aura », si jaillissante encore en « Moi ». Ainsi, aussi épanoui en « Moi » ne me quitte-t-il pas, n’appartenant… Qu’à « Toi » !
Et… Sous ce soleil-là, amant des ombres à « Toi », « Petite Graine Pomme » pour qui « Ma Vie Germa », et à jamais demeure Entière Dédiée à « TOI », Unique Fleur entre Mes Bras. Aussi, sous chacun de « Mes Pas » naît « Une Fleur », pour « Toi ». Oui, « Toi » ! Qui me cueillis en « Terre d’Émois », refuge de « Ma Joie » d’avoir été pour « Toi », qui n’es plus là, ce tout petit bout d’homme au « Cœur Carmin, qui Bat », dont Le Chemin de Croix, si fort lové à Ton Karma, et fol « Amant Kâma Soutra » de tout ce qui fait « Toi » … En son ardente Foi se sent si seul parfois.
Ainsi « Ce » jour venu, celui d’une heure qui fut La Tienne, Ce Cœur Ému, ici Le Mien ! Ne battit-il que pour « Tes » Soies. Bat-il encore bien malgré moi de Mes antiennes trillant pour « Toi » l’hymne à Sa Joie, T’offrant Bonheur… Et au-delà, je crois.
À cet instant qui fut ma veine, croquant Cette heure qui fut La Tienne, Souveraine pour moi, tu gravas en ma Vie pour la première fois avec autant d’éclat à T’affirmer Unique, ma terre magnétique qui brûla sous tes pas tisserands d’un cocon dont la chair magmatique, en volcan de passion aux laves sybarites, « Me » fit pour « Toi » … Fusion.
Aurais-je ainsi été soleil aux ombres belles, ou simple farfadet d’un astre incandescent qui « Te » sut révéler telle tu flamboyas, impudique vestale, qui rayonne toujours, si capiteuse en « MOI », et si Belle surtout… De tout ce qui fait… « TOI » ! Oui, « TOI », dont je fus l’impétrant baigné de cet émoi qui soupira d’éclats noyant ma propre voie en tes Doux Sortilèges aux si troublants arpèges, sous lesquels, Oh combien ! Je pense ainsi à « Toi », bien plus que tu ne crois. Tant, qu’en ton Bel Univers, Cœur Amant de Ma Vie, je soupire pour Ta Terre qu’assidûment je sers, Mousquetaire de Ta Flamme désirée sans détour par Mon Âme Fontaine, qui y sème « Mes » graines pour T’Aimer plus que tout, de toutes « Mes » lumières ivres de « Tes » appâts qui dissolvent mes peines… En « Tes » troublantes auras.
Oui… C’est ainsi que je T’Aime en Ferveurs XXL gobant « Mon » Âme d’Homme aux délires amadou, tant de « Ton Évidence » tu sus rendre « Maboul » « Mon Cœur » et « Son Amour », si Infiniment Doux, que je confie à Ta Chimère « Mon Joug », à « Ton » Aura Solaire à laquelle il se voue… Mon « Être Fou » de « TOI » … Qui pourtant n’es plus là.
Tu demeures « Ma Lumière », de l’Amour « Ce Bijou », qui tant me régénère, Trésor de « Ton » giron, Fruit mûr de « Tes » froufrous, Nid de « Cette Passion » qui en « Ces » mots t’avoue… « Mon Cœur » qui y frémit.
En « Ma Source » aujourd’hui, distillé par « Ta Vie », qui « Elle » sourd en Moi, Jolie, Jolie, Jolie, Mon Émoi naît de « TOI ! » … Et Tant Tu M’Embellis.
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